Mon Yukon

On revient aux essentiels et à la raison d’être première de ce blog: le Yukon.

Question: Pourquoi est ce que j’aime le Yukon ?

Réponse:

– C’est le bout du monde d’un point de vue français.

– Y a personne. D’un point de vue parisien.

– Habiter à Cheval Blanc.

– Picsou en parle dans son magazine et est devenue riche là-bas.

– On peut se la péter en soirée en disant qu’on y a vécu.

– On peut chercher de l’or. Et en trouver.

– Il y a une faune démente. Dont des ours. Et des caribous.

– Une manne financière et des salaires élevés. Faut pas se cacher non plus.

– 600 bornes sans rencontrer personne et un permis à 40 dollars.

– Un hiver pour les Hommes, les vrais (et pour les Femmes aussi tant qu’à faire).

– Yukon Red, Gold et autre Ice Fog.

– Y a des suisses vétérinaires et des Nico photographes, voire même Housekeeper.

– C’est la seule province limitrophe à l’Alaska. Et aller en Alaska, c’est une preuve définitive et absolue de branchitude.

– Rencontrer des First Nations et essayer de comprendre ce qu’ils racontent.

– Le seul endroit où tu rencontres des PPDO , des Pascalounette et des Mélanie.

– Yvette. Ni plus ni moins.

– Annie Lake. Fish Lake. Hidden Lake. Fox Lake. Les Lakers du Yukon.

– J’y ai acheté et conduit ma seule voiture.

– Pour le jeu de mot immortel: Yes, Yukon !

Et probablement pour bien d’autres choses encore…

Le petit jeu du jour:

Vu qu’une certaine partie de mon ô combien honorable et estimé lectorat semble prendre un malin plaisir à fouiner dans mon passé blogesque, je lance un petit jeu de piste sans autre récompense que Gloire et Estime:

Je suis caché quelque part sur Twitter.

Qui me retrouvera ?

PS: Pour le fun, je suis en Une du nouveau truc communautaire du Parisien… Merci Isa !