Au large du quarantième.

Assis sur mon lit, je surfe et j’écris. J’explore le monde depuis mon HP personnel, chatte et discute, mets des photos en ligne et hait le nouveau Facebook.

Bref, vous l’aurez compris, on a Internet à la maison. Et le wifi. D’ailleurs, à ce propos, constat intéressant. Le modem (si cher à Mr Bayrou) wifi classique n’existe pas à WH. Non. No way, niet, nada. Ils font toutes sortes de choses intéressantes, des propositions tout ce qu’il y a de plus indécent mais pas de modem Wifi. Il faut le faire soi-même. Ni plus, ni moins.

Heureusement, la Providence, le destin (voire la fatalité… qu’en sais-je ?) a mis sur mon chemin une Paspeurdesmodemsanswifi. Qui maitrise tout à fait le monde fascinant des réseaux. Et des routeurs. Donc du coup, des routeurs wifis. Et on a donc été acheter cet après-midi un routeur wifi. Que nous avons stratégiquement configuré. Sauf le mot de passe. C’est paspeurdecequevoussavez qui l’a crée. Un truc monstrueux en caractères assyro-babyloniens. Je savais même pas que ça pouvait se faire sur un clavier. Enfin bon, tout ça pour dire que celui qui réussira à trouver ce password.

Bah il est pas né (comme le poisson).

Demain, j’enchaine comme un malheureux mon second jour de congé. Il va falloir que je remplisse la mission périlleuse que m’a assigné ma collocatrice. Acheter de la lessive. Le grand pot. Parfum lavande, surtout pas vanille. On ne supporte pas le parfum vanille pour les vêtements.

Il faut aussi continuer à chercher de quoi meubler un peu plus not’ petite maison. A part les lits, les sommiers, le canapé Marlboro/Lucky Strike/Gitanes et la table… Bah on a pas grand chose. Et on a un grand salon. Donc…

Voila. Enfin,pour finir gaiement, je ne peux m’empêcher d’adresser fort sympathiquement un message personnel à ceux qui le comprendront:

“Le doryphore est dans la patate et la baleine est un cétacé”.