Un si sept tendre

Le choix étant dans la date ci-dessus et bien loin de moi toute pensée graveleuse, voici donc encore une fois la tradition respectée d’un intro sans queue ni tête.

Fin d’un très paisible week-end sans aucune consonance canadienne et encore moi yukonnaise, essentiellement ciblé sur la dégustation dans les lieux adéquats de jus de houblon fermenté tout en regardant des hommes courir après un ballon drôlement rebondissant pour le foutre dans un truc circulaire situé très haut perché.

Ayant eu l’insigne bonheur de revoir quelques amis fort éloignés, voila que je me retrouve en ce mois de septembre devant l’éternel dilemme du voyageur reviendu, de l’expatrié plus très expat’, du routard dérouté, bref du Cedric parisien: Partir ? Où ? Rester ? Pour faire quoi ?

Alors je sens déjà venir au loin les clameurs pascaliennes me réclamant à corps et à cri de limiter mes épanchements interrogatifs et de me reconcentrer en vitesse sur mes récits d’ours, caribous et compagnie mais tel n’étant pas mon bon plaisir et étant après tout ici chez moi, je m’en vais n’en faire qu’à ma tête (d’oeuf en l’occurence !).

Bref.

L’inspiration n’étant pas forcément présente et ma plume venant à se fatiguer, je ne vais pas m’acharner plus longtemps et sur ce vous souhaite, une fort belle soirée.