Ode

Allongée sur une table
La tête perdue mais l’air affable.

Nous attendant tranquillement,
Sans pour autant perdre son temps.

Sa peau douce et soyeuse,
Révélant sa nature qui fut joyeuse.

Tranquillement, je me suis insinué,
De dehors en dedans, déterminé.

Mes mains caressant ses côtes,
Tout en sciant comme dans un film hot.

Allant et venant, agrippé au gras,
D’un ventre qui probablement, enfanta.

Puis dans son intérieur, j’ai trouvé son cœur,
Oublié là après la journée de labeur.

L’affaire fut vite terminée,
A cinq, c’est sur, ce n’est pas compliqué !

Pour cette première fois,
Tu fus parfaite pour moi,

Ce poème, bien que peu folichon,
T’es donc dédié, ma chère carcasse de cochon !