Faire rêver

Une petite discussion de cet après-midi (et même d’avant d’ailleurs) avec une éminente partie de mon estimable lectorat a mis en exergue un point dont je me doutais quelque peu et dont je m’en vais discuter ici même.

L’objet premier de ce blog était de vous conter cette année de PVT canadien. Le choix de la contrée – le Yukon pour ceux qui débarquent – couplé apparemment à une certaine qualité narrative (si j’en crois lesdits lecteurs) a eu un rôle essentiel dans la réussite relative de ce lieu.

Or, depuis mon (triste) retour et à l’exception de quelques morceaux de bravoure, j’ai l’impression de légèrement tourner en rond et d’avoir une lancinante tendance à me répéter de temps à autres.

Ce qui est ressorti de l’intéressante discussion citée en incipit est vous venez rêver, vous éloigner d’une certaine grisaille, vous évader. Bref, lire des textes relatifs à quelque chose de pas commun. Mais apparement “Paris, ça ne fait pas rêver” et force m’est de le constater, à mon corps attaquant.

Je vais donc tenter dans les prochains jours de recentrer le contenu de ce “Voyage au Yukon (et ailleurs) !” vers sa vocation première et de revenir en votre compagnie, si vous le voulez bien ! sur les traces du Grand Nord.

Expérience à suivre donc !